Au sommet du monde, nul ne s’est élevé, si ce n’est Celui venu du ciel, portant la lumière, la tendresse,le secret d’un amour qui relève l’éternel.
Comme Moïse dressa le signe dans le désert, la croix s’est élevée pour briser nos fers, car le ciel lui-même, dans un souffle de grâce, a donné le Fils, trésor ineffable, non pour condamner, mais pour que toute vie s’embrasse et trouve salut devant l’inimaginable.
Et sous l’ombre sacrée, le monde se relève, porté par l’espérance, animé par le rêve que rien n’est perdu, que tout peut renaître à l’ombre du bois, là où l’amour pénètre.
O Croix, mémoire vive du salut proclamé, rappelle à chaque souffle la douceur retrouvée. Qu’au creux de nos doutes, la confiance demeure:
Le Fils s’est donné, la croix ouvre nos cœurs.
Lire la suite
Lire la suite
Lire la suite