Sur la route des foules, la voix se fait entendre, elle interroge les cœurs, elle invite à comprendre:
«Veux-tu venir après moi? Sauras-tu tout quitter, porter le poids du doute, le fardeau de la rentrée?»
Car nul ne bâtit une tour sans avoir calculé la somme et la sueur, les pierres à assembler. Nul n’entre en bataille sans peser l’ennemi, sans compter l’espérance, sans trembler dans la nuit.
Oser tout perdre, pour tout recevoir peut-être; abandonner l’avoir, la paix, le doux paraître, pour un Royaume caché,
pour un chemin offert, humble, austère parfois, où le cœur se libère.
Père Théo
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